Le chapitre vise à comprendre la place de la langue arabe dans l’enseignement secondaire breton. Il s’agit de saisir les freins expliquant que cette langue peine à être trouver une légitimité dans l’institution scolaire à partir de l’observation de la mise en place d’une classe bilangue arabe/anglais dans un collège rennais. L’arabe reste à ce jour peut identifiée socialement comme une ressource culturelle accessible à tous et les résistances à proposer cet apprentissage linguistique à l’ensemble des élèves qui le souhaitent sont multiples. Seule une intervention étatique centralisée pourrait remettre en question cette hiérarchisation linguistique scolaire.